L’utilisation libérale par le réalisateur du mot anglais « nig... » et sa représentation brutale, caricaturale et parfois violente de l'esclavage, a attiré les foudres de certains des défenseurs de premier plan Afro-Américains, les passionnées et bien d’autres encore.
Tout comme la polémique suscitée par la représentation de la torture parrainée par la CIA dans le film de Kathryn Bigelow " Zero Dark Thirty", l’agitation autour de Django Unchained a été une fois de plus provoquée par un cinéaste s'attaquant à un dossier chaud.
Ishmael Reed a écrit au Speakeasy que le film « a été le discours des Noirs pendant toutes les fêtes de Noël aux quelles j’ai assisté », Tarantino comparant les Afro-Américains qui voulaient voir « Django » au roman « When Time Ran Out: Coming of Age in the Third Reich » de Frédéric Zeller, qui confiait qu’enfant, il a applaudissait les personnages aryens du cinéma allemand avant la seconde guerre mondiale.
« Django Unchained », écrit-il, est une «abomination», une distorsion de l'histoire : « C'est un film à la Tarantino comportant toutes les connotations racistes qui apparaissent généralement dans ses autres films. »
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